Comme chez Mark Rothko, Barnett Newman, Clyford Still et Ad Reinhart, le tableau est chez Souleymane Keïta un champ saturé par une couleur unique qui, dans sa logique délibérément monochrome, semble refouler les émotions qui pourraient s’échapper sous la forme de couleurs différentes.

Photos : ©Serge Villain